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          L’Ethiopie va libérer des hommes politiques emprisonnés

          tedlapidus by tedlapidus
          8 janvier 2018
          in Actualités, Afrique, CL2P, Divers, Hommes Politiques, Prisonniers politiques
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          L’Ethiopie va libérer des hommes politiques emprisonnés
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          C’est un coup de tonnerre dans le ciel politique éthiopien. Le Premier ministre annonce la libération d’hommes politiques et d’autres personnes emprisonnés ces dernières années. Hailemariam Dessalegn ne donne aucune précision sur les personnes concernées, ni sur leur nombre éventuel. Il a fait l’annonce ce mercredi matin lors d’une conférence de presse à Addis-Abeba. Hailemariam évoque aussi la fermeture de la plus tristement célèbre prison d’Éthiopie.

          Sur les réseaux sociaux, les réactions se multiplient. Beaucoup de surprise et même de la joie chez les opposants. C’est une décision « sortie de nulle part » confie un journaliste local à RFI. Comme tout le monde, il n’a appris la tenue de cette conférence de presse qu’au dernier moment.

          Le Premier ministre était entouré des présidents des partis qui composent la coalition au pouvoir à Addis-Abeba (les partis oromo, amhara, tigréen et des nations du Sud). Ces dernières semaines, l’EPRDF (Ethiopian People’s Revolutionnary Democratic Front) s’est réuni pour trouver des solutions à la crise que traverse le pays de la Corne de l’Afrique. Crise politique à l’intérieur, entre les partis de la coalition ; crise politique et sociale à l’extérieur de cette coalition avec divers conflits inter-régionaux qui minent l’Ethiopie depuis des mois.

          La décision annoncée mercredi midi est prise dans l’optique de « créer une atmosphère de réconciliation nationale » selon Hailemariam Dessalegn. Des hommes politiques et d’autres détenus devraient donc être libérés. Qui ? Et combien ? On ne sait pas. Le porte-parole du gouvernement explique à RFI qu’il faut « attendre car cela prend du temps d’enquêter pour décider qui mérite le pardon ». Ces libérations seront donc précédées d’enquêtes. Des enquêtes qui pourront conduire à une annulation des charges ou à une amnistie pure et simple, d’après le Premier ministre éthiopien.

          Des dizaines de milliers de personnes arrêtées

          L’autre annonce importante du Premier ministre est la fermeture prochaine de la prison de Maekelawi (« central » en amharique), tristement célèbre pour avoir été un centre de torture pendant la période dictatoriale du DERG (1974-1991). Ce lieu, en plein centre d’Addis-Abeba, était encore utilisé pour torturer selon un rapport de Human Rights Watch en 2013. Il devrait être transformé en musée.

          Depuis près de trois ans, l’Ethiopie est secouée par des vagues de protestations dans plusieurs des Etats-régions qui composent la fédération. Des dizaines de milliers de personnes ont été arrêtées.

          En août, il en restait encore 8 000 derrière les barreaux selon Human Rights Watch. Ce sont certain(e)s d’entre eux qui sont concernés par la mesure annoncée par le Premier ministre ce mercredi. Reste à savoir ce que signifieront concrètement les mots prononcés par Hailemariam Dessalegn.


          « Prisonniers politiques »

          Le flou demeure sur les intentions réelles du gouvernement. Pour preuve, ces multiples versions de l’annonce du Premier ministre éthiopien publiées sur les réseaux sociaux, sur les comptes officiels de la primature. Dans la soirée, son bureau a fini par publier un texte en anglais coupant court aux diverses tentatives de traduction de l’amharique. Résultat : il n’utilise pas le terme de « prisonnier politique ».

          Quoiqu’il en soit, les blogueurs et les sites d’information classés dans l’opposition y ont vite vu une reconnaissance officielle. Les ONG de défense des droits humains, elles, dénoncent depuis longtemps l’existence de détenus à caractère « politique » en Ethiopie. Amnesty international espère que ces annonces sont le signe d’un « nouveau chapitre pour les droits humains ». Mais l’organisation ajoute qu’il ne suffit pas de libérer quelques dissidents pacifiques. Amnesty demande aussi des enquêtes sur les cas de disparitions forcées depuis l’arrivée au pouvoir de l’actuelle coalition EPRDF, en 1991.

          Pour être crédible, le gouvernement devra libérer rapidement Merere Gudina et Bekele Gerba, leaders de l’opposition oromo, emprisonnés l’année dernière. Jusqu’où s’étendra cette amnistie ? Qu’en est-il par exemple d’Andagachew Tsigue, secrétaire du Ginbot 7, mouvement politique catégorisé terroriste par les autorités. Arrêté en 2014, Andagachew Tsigue est toujours détenu au secret.

          En 2011, Andualem Arage, vice-président de l’Unité pour la démocratie et la justice est condamné à la prison à vie pour terrorisme, ainsi que des journalistes. Qu’en est-il d’ailleurs de tous les blogueurs derrière les barreaux ou encore des 8000 personnes arrêtées depuis 2015 ?

          Le pardon n’est pas nouveau dans la culture de l’EPRDF. En 2007, l’opposante Birtukan Mideksa par exemple est graciée après avoir passé deux ans en prison. Dès 2008 elle est incarcérée de nouveau jusqu’à une nouvelle grâce en 2010. C’est dire la versatilité du pardon chez l’EPRDF.

          Par RFI
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          René Lefort: l’amnistie des prisonniers politiques éthiopiens est «inattendue»

           
          René Lefort: l'amnistie des prisonniers politiques éthiopiens est «inattendue»
          Manifestation d’Ethiopiens oromos contre le gouvernement, le 1er octobre 2017 à Bishoftu.ZACHARIAS ABUBEKER / AFP

          Le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Dessalegn, a annoncé hier une amnistie pour les prisonniers politiques. Un centre de détention – dénoncé par les associations des droits de l’homme comme un haut lieu de torture pour les opposants – sera également fermé et transformé en musée. Le geste est aussi fort qu’inattendu, comme l’explique notre invité aujourd’hui, René Lefort, chercheur indépendant, spécialiste de l’Éthiopie. Il répond aux questions de Gaëlle Laleix.

          RFI : Le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Dessalegn, a annoncé hier une amnistie pour les prisonniers politiques. C’est une initiative qui étonne dans la mesure où cela fait trois ans que son gouvernement réprime avec violence toute opposition. Qu’est-ce qui a pu motiver sa décision ?

          René Lefort : On n’y comprend vraiment pas grand-chose. Le Front populaire de libération du Tigré qui est le pilier de la coalition des quatre partis ethniques au pouvoir a tenu un congrès qui a duré 35 jours. Puis ensuite, la coalition elle-même a tenu une conférence spéciale qui a duré 17 jours. Tout le monde en attendait monts et merveilles. Et on en a sorti finalement deux communiqués absolument insipides, dans une langue de bois éculée. Donc la déception a été immense. Et deux jours plus tard, sans prévenir, sans que quoi que ce soit de connu se soit passé, très solennellement le Premier ministre annonce une mesure absolument spectaculaire et totalement inattendue, c’est-à-dire une sorte d’amnistie des prisonniers politiques. D’abord, il commence par reconnaître qu’il existe en Ethiopie des prisonniers politiques. Il l’avait toujours nié. Et reconnaître qu’il y avait des prisonniers politiques veut dire que cette démocratie, qu’il n’arrêtait pas de vanter d’avoir implantée en Ethiopie, avait pour le moins des lacunes. Ensuite, c’était vraiment la mesure symbolique, forte, que tout le monde attendait, qui pouvait signifier que le gouvernement, le régime avait réellement pris conscience de la gravité de la situation, de l’intensité de la crise. Et là, ce geste fort intervient donc hier. Maintenant, la prudence s’impose. Il faut voir dans quelle mesure cette amnistie sera effectivement implantée, quel sera son périmètre, est-ce qu’elle visera essentiellement les Oromos qui constituent le gros des prisonniers politiques, ou est-ce qu’elle visera aussi des groupes considérés jusque-là comme terroristes, je pense à des gens du Front de libération de l’Oromia ? Tout cela, ça reste à voir.

          Pour rappel, des mouvements de contestation ont démarré en 2015, d’abord en région Oromo, puis Amhara, et enfin dans les régions des peuples du Sud. Il y a eu une cinglante répression, des mois d’état d’urgence. Du coup, on se demande pourquoi Hailemariam Dessalegn tend la main maintenant ?

          Si vous regardez l’actualité de ces dernières semaines, il n’y a pratiquement pas un jour sans des heurts armés. Donc la situation reste extrêmement grave. Je répète, ce que l’on ne comprend pas, c’est pourquoi est-ce qu’à l’issue de ces interminables réunions, quand tout le monde attendait vraiment un message, il n’y a absolument rien qui sort ; et deux jours plus tard, cette nouvelle absolument spectaculaire. Ce qui s’est passé entre les deux, l’hypothèse que je fais, mais ce n’est qu’une hypothèse, c’est qu’ils se sont rendu compte que ce communiqué avait été catastrophique et qu’il devait par exemple faire quelque chose de significatif.

          Parce qu’à l’issue de ces communiqués, il y a eu des réactions ?

          Il y a eu une très grande déception,  y compris de supporters du Front populaire de libération du Tigré. Eux aussi attendaient quelque chose de vigoureux.

          On observe des luttes inter ethnique dans le pays. Et est-ce que ce n’est pas cela finalement que le Premier ministre a souhaité désamorcer, c’est-à-dire des guerres internes qui pourraient nuire à l’intégrité de l’Ethiopie ?

          Les manifestations continuent. Là-dessus en plus, il y a eu des conflits inter ethnique. Mais c’est cela le cœur du problème de la crise de l’Ethiopie. Le cœur du problème, c’est comment mener à son terme la décolonisation de ce qui a été un empire, puisque historiquement, ce sont les Amharas et les Tigréens du plateau abyssin, qui à la fin du XIXe siècle ont reconquis des populations périphériques, à commencer par les Oromos qui sont aujourd’hui les plus nombreux, et qui les ont asservis. Le Front populaire de Libération du Tigré, quand il est arrivé au pouvoir en 1991, a dit, on va résoudre le problème avec un système fédéral, avec une fédération ethnique de neuf Etats ethniques. Sur le papier, le problème était résolu. Dans la réalité, il n’était pas résolu parce que l’hégémonie ou la suprématie du Front populaire de libération du Tigré persistait. Et les Oromos ou les Amharas avaient le sentiment d’être devenus des citoyens de seconde zone. Donc ce qui est vraiment aujourd’hui en jeu, c’est un basculement qui est peut-être aussi décisif qu’a été la chute de Hailé Sélassié et la chute de Mengistu Haile Mariam. Ce qui est vraiment en jeu, c’est un équilibre honnête des pouvoirs et des ressources entre les différentes grandes ethniques de l’Ethiopie.

          Cela fait 25 ans que le Front populaire révolutionnaire démocratique éthiopien (PRDF) est au pouvoir. Est-ce que là on est dans un basculement, parce que quand même le geste est historique ?

          S’il est suivi des faits concrets, le geste est absolument capital. La décision annoncée par Hailemariam Dessalegn est une rupture complète avec tout ce qui a existé depuis des années. C’est en résumé la victoire des réformistes, au moins symboliquement.

          Oui, car il y a quand même encore un flou énorme sur qui sera gracié, quand et comment ?

          Absolument. Enfin, l’engagement en même temps est tellement fort et il est tellement spectaculaire qu’il sera très difficile ensuite au régime de tergiverser.

          Par Gaëlle Laleix

          Tags: AfriqueCL2PDroits de l'hommeÉthiopieHailemariam DessalegnJusticePolitiquePrisonniers Politiques
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