• CL2P
  • Présentation
  • Opinion
  • Contact
CL2P
  • Accueil
  • Cameroun
  • Hommes Politiques
    Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

    Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

    AFRIQUE: Préservons Les Grands Lacs

    AFRIQUE: Préservons Les Grands Lacs

    Cameroun, Non à la Politique du Néant / Cameroon, No to the Politics of the Void

    Cameroun, Non à la Politique du Néant / Cameroon, No to the Politics of the Void

    Affaire REDHAC : Alice Nkom Vs Atanga Nji /REDHAC affair : Alice Nkom Vs Atanga Nji

    Affaire REDHAC : Alice Nkom Vs Atanga Nji /REDHAC affair : Alice Nkom Vs Atanga Nji

    Jupiter et la Francafrique sont morts / Jupiter and Francafrique are Dead

    Jupiter et la Francafrique sont morts / Jupiter and Francafrique are Dead

    Souveraineté populaire et fraude politique monumentale / Popular sovereignty and monumental political fraud

    Souveraineté populaire et fraude politique monumentale / Popular sovereignty and monumental political fraud

    Trending Tags

      • Paul Eric KINGUE
      • Enoh Meyomesse
      • Marafa Hamidou
      • Pierre Désiré ENGO
      • Urbain Olanguena Awono
    • Dossiers Judiciaires
      Justice pour Martinez Zogo / Justice for Martinez Zogo

      Justice pour Martinez Zogo / Justice for Martinez Zogo

      Liberté Pour Assange / Freedom for Assange

      Liberté Pour Assange / Freedom for Assange

      Libérer Marafa / Freedom for Marafa

      Libérer Marafa / Freedom for Marafa

      Cameroun, Plus Jamais Ça! / Cameroon, Never Again!

      Cameroun, Plus Jamais Ça! / Cameroon, Never Again!

      CAMEROUN, ALERTE: SÉVICES CORPORELS ET MENACES DE MORT EN PRISON CONTRE M. ACHILLE ZOGO ANDELA, ONCLE DU JOURNALISTE ASSASSINÉ MARTINEZ ZOGO

      France: la chasse aux sorcières et l’acharnement politique contre les activistes et défenseurs de l’émancipation internationale de l’Afrique

      France: la chasse aux sorcières et l’acharnement politique contre les activistes et défenseurs de l’émancipation internationale de l’Afrique

      Trending Tags

        • Affaires judiciaires
        • Affaire Ambassa
        • Affaire Enoh
        • Affaire Eyoum
        • Affaire Kingue
        • Affaire Marafa
        • Affaire Mebara
        • Affaire Olanguena
      • Afrique
      • Europe
      • Monde
      No Result
      View All Result
      • Accueil
      • Cameroun
      • Hommes Politiques
        Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

        Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

        AFRIQUE: Préservons Les Grands Lacs

        AFRIQUE: Préservons Les Grands Lacs

        Cameroun, Non à la Politique du Néant / Cameroon, No to the Politics of the Void

        Cameroun, Non à la Politique du Néant / Cameroon, No to the Politics of the Void

        Affaire REDHAC : Alice Nkom Vs Atanga Nji /REDHAC affair : Alice Nkom Vs Atanga Nji

        Affaire REDHAC : Alice Nkom Vs Atanga Nji /REDHAC affair : Alice Nkom Vs Atanga Nji

        Jupiter et la Francafrique sont morts / Jupiter and Francafrique are Dead

        Jupiter et la Francafrique sont morts / Jupiter and Francafrique are Dead

        Souveraineté populaire et fraude politique monumentale / Popular sovereignty and monumental political fraud

        Souveraineté populaire et fraude politique monumentale / Popular sovereignty and monumental political fraud

        Trending Tags

          • Paul Eric KINGUE
          • Enoh Meyomesse
          • Marafa Hamidou
          • Pierre Désiré ENGO
          • Urbain Olanguena Awono
        • Dossiers Judiciaires
          Justice pour Martinez Zogo / Justice for Martinez Zogo

          Justice pour Martinez Zogo / Justice for Martinez Zogo

          Liberté Pour Assange / Freedom for Assange

          Liberté Pour Assange / Freedom for Assange

          Libérer Marafa / Freedom for Marafa

          Libérer Marafa / Freedom for Marafa

          Cameroun, Plus Jamais Ça! / Cameroon, Never Again!

          Cameroun, Plus Jamais Ça! / Cameroon, Never Again!

          CAMEROUN, ALERTE: SÉVICES CORPORELS ET MENACES DE MORT EN PRISON CONTRE M. ACHILLE ZOGO ANDELA, ONCLE DU JOURNALISTE ASSASSINÉ MARTINEZ ZOGO

          France: la chasse aux sorcières et l’acharnement politique contre les activistes et défenseurs de l’émancipation internationale de l’Afrique

          France: la chasse aux sorcières et l’acharnement politique contre les activistes et défenseurs de l’émancipation internationale de l’Afrique

          Trending Tags

            • Affaires judiciaires
            • Affaire Ambassa
            • Affaire Enoh
            • Affaire Eyoum
            • Affaire Kingue
            • Affaire Marafa
            • Affaire Mebara
            • Affaire Olanguena
          • Afrique
          • Europe
          • Monde
          No Result
          View All Result
          CL2P
          No Result
          View All Result
          Home Actualités

          Cameroun, Maurice Kamto : « Aller aux élections locales acterait la partition du pays »

          tedlapidus by tedlapidus
          7 décembre 2019
          in Actualités, Afrique, Cameroun, CL2P, Hommes Politiques, Maurice KAMTO, Politique, Societe
          0
          Cameroun, Contentieux électoral: Maurice Kamto veut saisir la communauté internationale
          0
          SHARES
          0
          VIEWS
          Share on FacebookShare on Twitter
          Soyons pour une fois honnêtes et directs entre-nous dans le seul intérêt du Cameroun
          En effet, en l’état du système électoral complètement verrouillé et de la captation du processus électoral par une administration territoriale entièrement contrôlée par le pouvoir en place depuis 37 années dans ce pays, quelle peut être la motivation première d’un Homme politique d’opposition en participant ou en appelant à participer à une mascarade électorale, dont il sait perdue d’avance; si ce n’est précisément de conférer à celle-ci- en échange d’un enrichissement personnel – la caution démocratique qu’elle n’a jamais eu dans ce pays??
          Nous savons pertinemment les raisons qui animent ceux qui y vont néanmoins en se présentant comme des “opposants”, et sommes même souvent mis au parfum de leurs minables arrangements avec le pouvoir en place, puis des quelques circonscriptions que ce dernier veut leur concéder dans le souci qui est le sien de préserver sa façade démocratique auprès des principaux partenaires bilatéraux et multilatéraux du Cameroun.
          Tout cela est su et connu depuis des années, au point où les circonscriptions que s’apprêtait à concéder le régime Biya au Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC) du Pr. Kamto nourrissaient déjà nos conversations, alors même que personne ne peut nier l’ancrage local et la légitimité populaire de ce parti sur toute l’étendue du territoire camerounais, y compris dans les “Bantoustans” du Sud Cameroun.
          Alors de grâce n’accablons pas pour une fois un Homme d’État qui refuse courageusement de se prêter à cette “servitude volontaire” à la tyrannie de Paul Biya.
          Il est temps que les Camerounais réalisent qu’en dépit des épreuves qu’ils peuvent endurer de celle-ci, ils n’en meurent pas systématiquement, et tous ne sont pas obligés de se “prostituer” pour un poste de ministre, un mandat de député ou de maire dit de l’opposition à une dictature implacable.
          Assez avec cette escroquerie politique qui a trop duré et n’amuse en réalité plus personne, même ses principaux promoteurs, en dehors du premier cercle tribal et familial du pouvoir de Yaoundé.
          JDE
          [spacer style="1"]

          Cameroun : « Aller aux élections locales acterait la partition du pays »

          Principal opposant camerounais, libéré en octobre après neuf mois de détention, Maurice Kamto expose ses solutions pour mettre un terme à la crise anglophone.

          Maurice Kamto, candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) à la dernière élection présidentielle, à Yaoundé, le 8 octobre 2018. Maurice Kamto, candidat du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) à la dernière élection présidentielle, à Yaoundé, le 8 octobre 2018. Zohra Bensemra / REUTERS

          Maurice Kamto se considère tout à la fois comme un président élu mais sans pouvoir et comme un prisonnier en sursis. Le principal opposant au Cameroun a été libéré de prison le 5 octobre, sur instruction du président Paul Biya. Le leader du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) avait été placé en détention fin janvier avec une centaine de ses partisans alors que, depuis octobre 2018, il revendiquait la victoire à l’élection présidentielle ayant permis la reconduction de M. Biya après trente-six ans de règne.

          Aujourd’hui, le Cameroun est traversé de multiples crises… Un conflit séparatiste dans les provinces anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, une instabilité chronique dans l’Extrême-Nord due à la persistance des attaques de Boko Haram et une rivalité politique qui dérive en tension ethnique. Après avoir pourtant battu campagne, Maurice Kamto et son parti ont finalement décidé de boycotter les élections législatives et municipales annoncées pour le 9 février 2020.

          Lire aussi Au Cameroun, le principal opposant Maurice Kamto appelle au boycott des élections législatives

          Pourquoi avez-vous décidé d’opter pour la politique de la chaise vide lors des prochaines élections ?

          Maurice Kamto La première raison est la non-résolution du conflit armé dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Aller aux élections sans avoir réglé cette crise serait dire aux populations de ces régions qu’elles ne sont pas camerounaises. On acterait ainsi la partition du pays. La deuxième raison, c’est la non-résolution des problèmes du système électoral, l’une des causes majeures de la crispation politique au Cameroun. Même Elecam, l’organisation en charge des élections, demande la réforme du code électoral adopté en 2012. Pendant les neuf mois de notre détention, la communauté internationale, emboîtant le pas aux acteurs politiques camerounais, a aussi demandé la modification consensuelle du système électoral avant l’organisation de nouvelles élections. Ce qui n’a pas été le cas. Si nous allions aux élections dans les conditions actuelles, les mêmes causes produiraient les mêmes effets.

          Ne risquez-vous pas de payer cher cette stratégie ? Celle-ci pourrait vous éliminer de la prochaine course présidentielle car, sans élus, le MRC ne pourrait présenter de candidat.

          C’est un risque réel. Mais là n’est pas le sujet. La question est de savoir si l’on crée un parti politique pour s’adjuger quelques sièges supplémentaires à l’Assemblée nationale ou quelques mairies sans avoir d’impact sur la vie politique et surtout sur celle des Camerounais qui souffrent énormément. Participer à ces élections serait un calcul à très courte vue. Si le pays est dans cette situation terrible, que ce soit sur le plan sécuritaire ou économique et social, c’est parce que nous n’avons pas des dirigeants choisis par les Camerounais et qui doivent leur rendre compte.

          Vous continuez de revendiquer la victoire à la dernière présidentielle. N’est-ce pas vain ?

          Ce n’est pas parce que quelqu’un est un voleur et qu’il ne vous rendra peut-être jamais votre bien que vous n’avez pas le droit de dire qu’il a volé. Nous sommes devant une situation où nous avons tendu la main pour que nous soldions le passif de la présidentielle de 2018, ce qui aurait permis à tout le monde de regarder l’avenir. Personne n’a saisi notre main. Nous n’avons fait que demander le recomptage des voix sur la base des procès-verbaux d’Elecam. C’était la meilleure façon de nous confondre si nos accusations étaient des affabulations. Cela n’a pas eu lieu et donc rien ne nous interdit de dire qu’il y a eu un hold-up électoral en 2018.

          Lire aussi « Au Cameroun, on constate une sophistication tactique de Boko Haram »

          Comment alors sortir de la crise politique ? Par une transition ?

          Il faut que le pouvoir en place accepte que l’on s’assoit. Nous ne réfléchissons pas en termes de transition, la question est institutionnelle. Ce ne sont pas les individus qui comptent, ce qui importe est la mise en place d’un dispositif législatif électoral qui garantisse des élections libres et transparentes au Cameroun.

          Quelles ont été vos conditions d’arrestation et de détention ?

          Terribles et humiliantes. Ceux qui sont venus nous arrêter arbitrairement voulaient nous humilier. C’était commandé. Le délégué régional de la police du Littoral qui est venu nous arrêter était au téléphone avec Yaoundé puisqu’il a dit : « Oui Monsieur le ministre, je les ai eus. » Sur le trajet entre Douala et Yaoundé, les mains menottées, nous ne pouvions pas faire de miracles lorsque nous voulions répondre à nos besoins naturels. Il fallait faire sur nous-mêmes, ce qui est une humiliation suprême pour des gens dont on connaît les services rendus à leur pays et qui surtout n’avaient commis aucun crime. Je ne vous parle pas du traitement réservé à nos camarades que l’on ne découvrira qu’à Yaoundé. Je crois que la torture est devenue un fait banal au Cameroun. Il se passe des choses terribles dans notre pays, mais on va se battre car il ne faut jamais transférer aux générations à venir les combats de notre génération.

          Le MRC n’a pas participé au dialogue national convoqué fin septembre début octobre au sujet de la crise anglophone. Quelles sont vos solutions pour mettre un terme à ce conflit ?

          Nous avons refusé, car il nous était impossible de nous rendre au dialogue puisque nous étions emprisonnés. Nous avons néanmoins fait preuve de bonne volonté pour qu’il soit utile et fructueux. Nous avons envoyé une délégation rencontrer le premier ministre dans le cadre des consultations préliminaires. Nous n’avons pas d’attitude de rejet systématique. Avant sa tenue, nous avons présenté nos modalités de sortie des crises multiformes qui affectent notre pays. Il n’y a pas que le Nord-Ouest et le Sud-Ouest ou la crise post-électorale, il y a aussi la guerre terrible dans l’Extrême-Nord. Il faut une approche collective nationale de responsabilité pour résoudre ces crises.

          Lire aussi Au Cameroun, l’impossible deuil des parents de jeunes filles kidnappées par Boko Haram

          Concernant le Nord-Ouest et du Sud-Ouest, il faut prendre des mesures de décrispation pour reconstruire la confiance. La première mesure à prendre est la libération sans condition de tous les prisonniers détenus dans le cadre de la crise anglophone. On nous a répondu parfois que ce sont des criminels. Mais cette crise, qui est politique, ne trouvera pas de solution par des voies judiciaires. D’autant que certains éléments de nos forces de défense et de sécurité ont pu commettre des crimes punissables. Les morts sont déjà morts, il faut désormais que d’autres morts ne viennent pas s’ajouter. Il faut laisser aux gens désigner leurs représentants et ensuite commencer à reconstruire les villages. Plus de quatre cents ont été détruits, alors quand on demande aux gens de rentrer, on aurait envie de rire. Il faut négocier un cessez-le-feu pour que les sécessionnistes déposent leurs armes, retirer l’armée et le Bataillon d’intervention rapide et laisser la police et la gendarmerie assurer le maintien de l’ordre.

          Lire aussi Dans le nord du Cameroun, les attaques quasi quotidiennes de Boko Haram

          Pour la forme, la majorité des Camerounais pense que le fédéralisme peut régler notre problème. J’étais au début favorable au régionalisme avec un statut spécial pour les régions anglophones. Mais après trois ans de conflit, plus de 12 000 morts d’après ce que l’on dit, plus de 500 000 déplacés internes, 40 000 réfugiés et une économie qui n’existe plus. On ne peut plus s’en tenir aux solutions qui étaient valables auparavant. Il faut voir comment réorganiser l’Etat pour transférer le maximum de pouvoir aux entités régionales. Nous souffrons dramatiquement d’un trop grand centralisme.

          Un autre danger qui menace le Cameroun est la montée des tensions communautaires. Comment réagissez-vous à ceux qui vous accusent d’être à la tête d’un parti tribaliste ?

          Les accusateurs sont ceux qui inspirent la haine ethnique au Cameroun. Avoir laissé prospérer le tribalisme est le plus grand mal que le régime aura fait à ce pays. Nous pouvons situer précisément le début de cette dérive tribaliste. Elle a commencé après la convention du MRC au Palais des congrès en avril 2018. Personne ne donnait cher de notre peau à l’époque, mais nous avons rempli la plus grande salle du pays avec nos délégués venus de toutes les régions. A partir de là, on a construit ce discours qui ne repose sur rien. Le premier vice-président est originaire du Nord, la deuxième est du Centre, le troisième est du Littoral, le quatrième est du Sud-Ouest. Ceux qui développent ce genre de discours le font car ils sont incapables de résoudre les problèmes des Camerounais qui ne sont pas dupes.

          Lire aussi Jean-Yves Le Drian en visite au Cameroun pour encourager l’ouverture politique

          Des pressions occidentales ont été exercées ces derniers mois sur les autorités camerounaises. Paul Biya s’est rendu par deux fois en France depuis votre libération. Considérez-vous que Paris fasse preuve d’une trop grande mansuétude à son égard ?

          Je m’interdis de porter des jugements sur la politique conduite par d’autres pays. La France est un pays ami, un partenaire historique du Cameroun, qui a des intérêts dans notre pays. Qu’elle reçoive celui qui, suivant le Conseil constitutionnel, est le président du Cameroun ne doit pas émouvoir outre mesure. La question est de savoir si Paris a toutes les informations qu’il faut sur le Cameroun pour construire sa position. Parfois, on a l’impression qu’un discours univoque a prévalu à Paris, où l’on pense que le pays est stable et l’on entend que le son de cloche venant du palais d’Etoudi.

          Vous avez été relâché sur instruction de Paul Biya. Vous sentez-vous pleinement libre aujourd’hui ?

          Je suis toujours prisonnier car mes camarades sont encore en prison. Mon esprit est chaque jour avec eux et je travaille avec nos avocats pour obtenir leur libération. Je ne suis donc pas totalement libre. Par ailleurs, je suis confronté aux difficultés, plus encore qu’avant mon arrestation, de faire travailler mon parti. La police a empêché des séances d’adhésion massive. Il nous parvient des menaces récurrentes sur notre propre sécurité. On parle d’assassinats physiques, d’une machination pour nous accuser d’avoir importé des armes pour déstabiliser le pays. Mais rien ne nous dissuadera de poursuivre le cours de notre vie.

          Propos recueillis par Cyril Bensimon 

          Tags: AnglophonesCamerounCameroun AnglophoneCL2Pcrise anglophoneélections législatives 2020élections municipales 2020Maurice KamtoMRCPaul BiyaPolitiqueRDPCRépression
          Previous Post

          Par Amadou Vamoulké, ancien directeur général de la Cameroon Radio and Television (CRTV)

          Next Post

          The crisis in Cameroon exposes lingering problems in Canadian foreign policy

          tedlapidus

          tedlapidus

          Next Post
          The crisis in Cameroon exposes lingering problems in Canadian foreign policy

          The crisis in Cameroon exposes lingering problems in Canadian foreign policy

          Recent News

          Marine Le Pen : la stratégie politique de la victimisation d’une condamnée/France, justice, Marine Le Pen: a convicted woman’s victimization strategy

          Marine Le Pen : la stratégie politique de la victimisation d’une condamnée/France, justice, Marine Le Pen: a convicted woman’s victimization strategy

          7 avril 2025
          L’extrême droite et la politique performative de la cruauté / Far right politics and the performative politics of cruelty

          L’extrême droite et la politique performative de la cruauté / Far right politics and the performative politics of cruelty

          7 avril 2025
          Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

          Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

          7 avril 2025

          Cameroun, arrêtons de parler de tribalisme! / Cameroon, let stop talking about tribalism!

          6 mars 2025
          CL2P

          Nous considérons comme prisonnier politique, toute personne qui serait en prison pour des motifs autres que ceux du droit commun (communément avancés) qui pourraient avoir servi de façade légale au déclenchement de son affaire.

          Follow Us

          Parcourir Par Catégorie

          • Actualités
          • Affaire Ambassa
          • Affaire Engo
          • Affaire Enoh
          • Affaire Eyoum
          • Affaire Kingue
          • Affaire Marafa
          • Affaire Mebara
          • Affaire Olanguena
          • Affaires judiciaires
          • Afrique
          • Ambassa Zang
          • Atangana Mebara
          • Cameroun
          • Célestin Yandal
          • CL2P
          • couriers
          • Divers
          • Dossiers Judiciaires
          • Enoh Meyomesse
          • eric kingue
          • Europe
          • France
          • Guinée
          • Hommes Politiques
          • Hong Kong
          • La Presse
          • Marafa Hamidou
          • Maurice KAMTO
          • Monde
          • ONU
          • Opinions
          • Palestine
          • Patrice Nganang
          • Pierre Engo
          • Politique
          • Prisonniers politiques
          • Societe
          • Système Biya
          • Urbain Olanguena AWONO
          • USA
          • Yen Eyoum

          Articles Récents

          Marine Le Pen : la stratégie politique de la victimisation d’une condamnée/France, justice, Marine Le Pen: a convicted woman’s victimization strategy

          Marine Le Pen : la stratégie politique de la victimisation d’une condamnée/France, justice, Marine Le Pen: a convicted woman’s victimization strategy

          7 avril 2025
          L’extrême droite et la politique performative de la cruauté / Far right politics and the performative politics of cruelty

          L’extrême droite et la politique performative de la cruauté / Far right politics and the performative politics of cruelty

          7 avril 2025
          Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

          Nettoyage Ethnique À Ciel Ouvert À Gaza /Open-Air Ethnic Cleansing In Gaza

          7 avril 2025
          • CL2P
          • Présentation
          • Opinion
          • Contact

          © 2022 CL2P - Premium news & magazine theme by CL2P ADMIN.

          No Result
          View All Result

          © 2022 CL2P - Premium news & magazine theme by CL2P ADMIN.