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          Soudan : « Ce coup d’État n’a pas d’avenir »

          tedlapidus by tedlapidus
          3 février 2022
          in Actualités, Afrique, CL2P, Politique, Societe
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          Soudan : « Ce coup d’État n’a pas d’avenir »
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          Le docteur en sociologie Hayder Ibrahim a fondé, en 1992, le Center for Sudanese Studies. Les travaux de ce think-tank, autrefois délocalisé au Caire, visent à placer la paix au cœur de la société soudanaise en mettant l’accent sur la diversité des cultures rassemblées au sein de ce grand pays d’Afrique de l’Est peuplé de plus de 43 millions d’habitants.

          Hayder Ibrahim revient sur le contexte et les conséquences du coup d’État qui a enterré, le 25 octobre dernier, la transition démocratique amorcée deux ans plus tôt, au lendemain de l’éviction du dictateur Omar el-Béchir. Depuis, les comités de résistance, des antennes locales révolutionnaires, organisent des manifestations massives, au moins une fois par semaine, pour réclamer l’instauration d’un gouvernement de civils. À chaque fois, les forces de l’ordre répriment violemment ces cortèges pacifiques. Le Comité des médecins soudanais, un syndicat prodémocratie, recense au moins 77 morts en trois mois.

          Le Point Afrique : Quels sont les principaux facteurs qui ont fait échouer la transition démocratique ?

          Hayder Ibrahim : Chaque révolution comprend deux étapes. La première consiste à détruire l’ancien régime, tandis que la seconde vise à bâtir un nouveau régime. Au Soudan, les mouvements révolutionnaires ont réussi à évincer le gouvernement précédent mais ils n’ont jamais eu de programme pour en instaurer un nouveau. Je préfère toutefois parler d’un pas en arrière, plutôt que d’un échec. La révolution se poursuit en effet à travers les manifestations contre le coup d’État. Les différentes forces de l’opposition au putsch doivent désormais se doter d’un manifeste ou d’une charte commune pour sceller un accord minimum. Et ce, car le document constitutionnel paraphé en août 2019 s’est révélé insuffisant dans la mesure où non seulement toutes les forces politiques n’ont pas participé à sa rédaction mais surtout parce qu’il a été écrit sous la pression des militaires.

          Dans ce contexte, le putsch était-il prévisible ?

          Oui, dès la signature du document constitutionnel, il était évident que la partie militaire n’accepterait pas d’être dirigée par des civils. C’est lié à l’état d’esprit des officiers qui se considèrent toujours supérieurs aux civils. Dès le début, ils se sont donc arrangés pour être majoritaires au sein du Conseil de souveraineté. Puis, durant ces deux années de transition, ils ont en permanence fait obstacle à la prise de décisions. Ils avaient beau travailler en partenariat avec les civils, ils n’ont cessé de faire reposer la faute sur ces derniers. Par exemple, lorsqu’ils ont accusé l’ex-Premier ministre Abdallah Hamdok d’avoir échoué à former les institutions censées encadrer la transition, en particulier le Conseil législatif.

          Or, cela ne relevait pas du seul devoir de Hamdok. Ces instances auraient dû émaner d’un accord entre les composantes militaire et civile du gouvernement. Tandis que le Premier ministre aurait dû, lui, expliquer publiquement à quel point les militaires faisaient obstruction à la transition. Mais son point faible est d’avoir toujours cherché à trouver des compromis. De son côté, la coalition qui l’a désigné, les Forces pour la liberté et le changement, comprend peu de partis politiques expérimentés. Elle s’apparente davantage à un syndicat étudiant, sans programme précis. Ses membres n’ont pas soutenu Hamdok de manière inconditionnelle comme ils auraient dû le faire. Ils sont restés passifs face à des généraux très agressifs.

          Après un mois en résidence surveillée, Abdallah Hamdok a passé un accord avec les militaires putschistes le 21 novembre. Pourquoi a-t-il finalement décidé de démissionner six semaines plus tard ?

          C’était une erreur de revenir après le coup d’État. J’ai toutefois fait partie de ceux qui lui ont conseillé de ne pas démissionner et d’agir, enfin, comme un véritable Premier ministre en prenant les bonnes décisions pour le futur de notre pays. Il nous a répondu avoir une feuille de route. Cependant, il n’a pas trouvé assez de soutien auprès des partis politiques. Cela l’a découragé et il a donc choisi de partir.

          Quels différents scénarios se dessinent à présent ?

          Ce coup d’État n’a pas d’avenir. Les généraux ne pourront pas se maintenir car ils ne possèdent pas les compétences nécessaires pour diriger un pays comme le Soudan avec toute la diversité qu’il abrite. Dans le même temps, un conflit entre les différentes factions armées menace d’éclater à tout instant. D’autant que les groupes armés du Front révolutionnaire qui ont signé l’accord de paix de Juba en octobre 2020, et qui soutiennent le coup d’État, n’ont pas d’ancrage dans la rue. Pour preuve, ils n’ont jamais pu organiser une manifestation en faveur des militaires.

          Hayder Ibrahim. © Capture d'écran
          Hayder Ibrahim. © Capture d’écran

          Au contraire, les forces révolutionnaires vont s’unir. Je ne vois pas d’alternative à cette union et à l’émergence d’un programme commun. La crise économique va également contribuer à l’échec, à court terme, du général Abdel Fattah al-Burhane, le principal auteur du putsch. Le dollar vaut désormais 500 livres soudanaises (SDG) alors que les réformes entreprises par l’ex-Premier ministre avaient permis de stabiliser le cours de la livre à 450 SDG pour un dollar. Les pays étrangers et les institutions internationales telle la Banque mondiale ont en outre suspendu leurs aides. Burhane n’a par ailleurs pas réussi à nommer un nouveau Premier ministre car personne n’accepte ce poste. Sa chute n’est plus qu’une question de semaines ou de quelques mois au maximum. Même ses alliés traditionnels, en particulier l’Égypte, devraient l’abandonner : ils n’ont pas les moyens de payer de telles sommes et ne veulent pas perdre leurs liens avec les Soudanais, qui s’opposent majoritairement au putsch.

          Face à cette crise politique, différentes initiatives émergent au sein de la société civile. Certaines refusent tout dialogue avec les militaires, d’autres estiment que la solution passe inévitablement par des pourparlers avec ces derniers. Cette divergence menace-t-elle le retour à la transition démocratique ?

          Toute forme de dialogue ou de compromis s’avère impossible avec un interlocuteur qui continue à tuer des civils. Ce ne serait pas logique. Aujourd’hui, même Oumma [l’un des quatre principaux partis des Forces pour la liberté et le changement, NDLR] a adopté une nouvelle position. Après avoir hésité, ses cadres ont reconnu l’impossibilité de négocier avec les militaires. Ce parti a par ailleurs publié, le 24 janvier, une déclaration annonçant qu’il se joindrait à toutes les prochaines manifestations et qu’il condamnait l’attitude des militaires. Cela représente un soutien important au mouvement démocratique dans la mesure où il s’agit du plus vieux parti politique du Soudan. Les partis favorables au dialogue sont, eux, minoritaires et rejettent, dans tous les cas, le putsch. De leur côté, les personnalités médiatiques tels l’avocat Nabil Adib et le défenseur des droits Mudawi Ibrahim, qui défendent ces pourparlers, ne bénéficient d’aucun soutien politique.

          À LIRE AUSSIUne nouvelle journée de répression sanglante endeuille le Soudan

          L’initiative proposée début janvier par la Mission intégrée des Nations unies pour l’assistance à la transition au Soudan (Unitams) permettra-t-elle de faciliter les discussions ?

          Le chef de cette mission, Volker Perthes, ne présente pas de vision ou de stratégie claire. Il se positionne parfois en faveur de négociations ou de consultations. D’autres fois, il défend une initiative soudanaise. Beaucoup de personnes l’accusent de soutenir les militaires et le coup d’État. C’est un sentiment qui démontre le manque de confiance et s’explique par sa condamnation tardive du coup d’État et des meurtres liés à la répression des manifestations. L’initiative pour l’unité des forces de la révolution de décembre est au contraire la mieux placée pour résoudre cette crise. Elle tente d’établir un comité rassemblant entre autres des personnalités de la société civile, les Forces pour la liberté et le changement, les groupes armés non-signataires de l’accord de Juba, l’Association des familles de martyrs, les comités de résistance, le Parti communiste, les ambassadeurs congédiés après le putsch ainsi que 43 syndicats. Ses membres prennent progressivement confiance en eux et vont apprendre rapidement que la seule solution consiste à s’unir.

          Les militaires semblent-ils honnêtes lorsqu’ils promettent d’organiser des élections en juillet 2023 ?

          Absolument pas. D’abord, car des élections nationales requièrent un recensement de la population. Cela prendra plus d’un an. Avant ce scrutin, il faut par ailleurs reloger les réfugiés, mettre en place l’accord de Juba et se doter d’une nouvelle loi électorale, qui devra être votée par un Parlement. Les généraux disent qu’ils veulent organiser ces élections pour faire pression sur les partis politiques, car ils savent bien que la plupart d’entre eux ne sont pas prêts. Alors, les militaires se contenteront de prolonger, à nouveau, la période de transition et de faire perdurer le statu quo en pensant que la population finira par l’accepter. L’armée s’avère de surcroît incapable d’orchestrer des élections équitables. Seul un gouvernement civil pourra les mettre en œuvre. L’unique solution consiste donc, pour les soldats, à retourner dans leur caserne.

          À LIRE AUSSILe maréchal al-Sissi, principal allié des putschistes soudanais ?

          Les comités de résistance prévoient, eux, de mettre sur pied des élections locales afin de désigner les 300 membres du futur Parlement. Cela paraît-il réaliste ?

          Ce système est préférable à la répartition des sièges, depuis Khartoum, au sein des différentes composantes des Forces pour la liberté et le changement, du Front révolutionnaire et des militaires, comme le prévoyait le document constitutionnel de 2019. Il s’agira d’abord d’une élection locale qui se tiendra dans toutes les localités du Soudan. Ces élus choisiront ensuite un délégué pour chaque district. Les chefs tribaux ou les chefs de village devront concourir à égalité avec les autres candidats et non plus hériter d’un siège en raison de leur titre ou de leurs liens familiaux. Ce scrutin peut être organisé d’ici trois à six mois. Les 300 circonscriptions électorales seront déterminées d’après les données dont nous disposons déjà pour la collecte des impôts ou la carte scolaire. Les comités de résistance doivent par contre y travailler dès maintenant.

          Par Augustine Passilly

          Tags: AfriqueCL2PHayder IbrahimOmar el-BéchirPolitiqueSoudan
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